Odieuse presse racoleuse.
ous ne trouvez toujours pas que la presse française est en dessous de tout, qu'elle travaille pour le pouvoir, qu'elle fait tout pour distiller son venin dans la population, qu'elle est au service de l'oligarchie et ne cesse de désinformer pour atteindre son but sournois.
Je vous raconte donc la petite anecdote du jour.
Commençons par ce titre racoleur de l’obs : Le « gilet jaune » Jérôme Rodrigues en garde à vue, soupçonné de violences conjugales... Rien que ça ! Il n'y a pas à dire, ça claque ce genre d’accroche ! Et, avant même d'avoir lu, on sent bien ce qu'ils ont derrière la tête. L'image du gilet jaune éborgné que l'on va ternir avec un des sujets de ces temps troubler, les violences faites aux femmes. On sent bien que l' mariée est super belle. De victime, le voilà passé au rang de violent de service, le piédestal est brutalement déboulonné.
Alors, un peu meurtri par ce qu'il faut bien regarder comme une révélation terrible, je lis l'article...
Et là, surprise ! Que dit sa propre épouse ? En substance, qu'ils ont eu une violente dispute, verbale précise-t-elle, qui lui a causé une violente crise d'angoisse qui l'a poussée à appeler les pompiers. Jérôme Rodrigues a été placé en garde à vue à la demande du procureur qui a certainement vu là une belle occasion de se faire de la pub et de satisfaire le locataire de l’Élysée. même si son épouse a affirmé « Quand je suis sortie de l’hôpital, on m’a auditionnée, on a tenté de me faire dire un tissu de mensonges, dont celui d’avoir subi des violences conjugales ».
Voila. Un article vide, aucune violence avérée, mais un titre racoleur pour servir la cause : nuire à l 'homme et au mouvement qu'il représente.
Voila comment fonctionne chers amis, notre presse servile, qui confond manipulation et information, qui prouve s'il en était encore besoin que la vérité ne l'intéresse nullement, au prix de messages subliminaux comme celui que je viens de vous décrire.
— Olivier Berruyer (@OBerruyer) July 28, 2019