'après le journal Le Monde, je découvre, en substance, que la contestation de tout ce qui ressemble à une institution serait scandaleux et inadmissible car sous couvert de l'anonymat sur les réseaux sociaux.

Quand on voit les cirages de pompes éhontés auxquels se livrent nombre de journalistes dont on connait le nom, quand on voit ce que ce pouvoir fait de ses contestataires, on n'aspire pas vraiment à la transparence et on a le légitime souci de se protéger.

Et quand ce même journal rajoute: "la France est bien une démocratie. Chacun y est libre d’élire ses représentants – à l’Elysée ou au Parlement, dans sa ville ou sa région –, de s’exprimer, de débattre, de défendre ses idées, de lire ou d’écouter les médias de son choix, de manifester ou de faire grève s’il le juge nécessaire." On se demande vraiment si le scribouillard qui a pondu ces inepties connait le sens du mot démocratie ainsi que la latitude qui est laissée au peuple pour s'exprimer et manifester. Décidément, ce journal s'enfonce dans un soutien décomplexé et odieux du pouvoir!

Après, ils viendront pleurer d'être mal reçus par les gens en lutte, de ne plus être ni lus ni écoutés. Mais comment pourrait-il en être autrement.