LE GRAND SOUCI DU PAYS : COMMENT RECASER LES CAS SOCIAUX ?
Les cas sociaux ne sont pas forcément tous pauvre financièrement. Certain souffrent plutôt d'incapacités à mener leur vie, leur barque et celle des autres. Par contre ils peuvent se montrer nuisibles car ils possèdent une certaine capacité à nuire. C'est à cela qu'on les reconnaît aussi.
Ainsi François Hollande est un véritable cas. Champion de rien, il est récemment venu s’exprimer sur la plate-forme Twitch,
À la question « Quel est votre plus grand regret ? », au lieu de répondre « je n'ai pas su redresser le
pays », François déclare : « Mon plus grand regret, c’est de ne pas m’être représenté. » Ah ! la lucidité... la lucidité... A l'époque il y avait bien une solution pour être réélu : un pèlerinage à Lourdes. Quatre ans ont passé, mais l’homme rumine encore son renoncement à un éventuel second mandat. Ah ! La mémoire...la mémoire...Sans cesse s à « la recherche du temps perdu » Et ne
lui parlez pas de son fils adoptif, ce petit m... À l’évocation de celui qui fut son ancien ministre, le
capitaine Pédalo fait part de son amertume : « Vous faites bien de le rappeler, lui-même peut-être ne s’en souvient pas.» Cet inconnu qu’il a sorti du ruisseau, porté à bout de bras... Quelle ingratitude ! Quelle traîtrise ! Pour tout remerciement, l’odieux personnage qu’il a assis bien involontairement sur le trône de l’Élysée entretient une bonne relation avec un ancien ennemi juré : le petit Nicolas « C’est sans doute plus facile de consulter son lointain prédécesseur que son ancien employeur. », fulmine François un tantinet vindicatif. L’appel d'offre du bon roi François à son successeur est vibrant et poignant ; lui, François le débonnaire aurait pris plaisir à aider le petit (ce sale gosse en culottes courtes), distillant ses conseils souverains, lui le commandeur, le sage de la Nation. Quelle
revanche ! Mais non, rien ! Quel arrogant !Quel prétentieux ! Lui qui avait tenu ce morveux dans ses bras, lors de son baptême sur les fonds baptismaux de la République . » Mon Dieu (laïque) ! Il n'y a plus de jeunesse. Emmanuel n'a pas daigné répondre à son père adoptif qui pourrait s'écrier tel un Jules César trahi et poignardé : « Oh !Toi aussi mon fils ! » En qualité d’ex-grand timonier, François aurait pu donc donner des recommandations bien meilleures que celles de l'énervé au karcher ! Par exemple : sur la gastronomie, sur le maniement du scooter dans les rues de
Paris, sur la gestion de premières dames et comment remplacer la vaisselle cassée de l'Elysée par des assiettes en plastique, sur la fiabilité des marques de parapluies (son quinquennat fut tellement pluvieux), sur la manière de sourire à la télé pour ne pas paraître idiot, sur la façon d'aller de l'avant tout en faisant du surplace, sur l'art de promettre à des sans dents de s'attaquer à la finance, sur sa compétence en calembours, sur sa diligence et son énergie à attaquer les terroristes, sur son habileté à faire croire que le néant n'existe pas (en politique).
On comprend que François le rancunier ne serait pas fâché qu’Emmanuel le traître à sa race, connaisse la même mésaventure électorale que lui. Comme des sondages désastreux suivis d’un renoncement à la présidentielle. Ah ! Le pied ! Royal ! Dans le rêve (rose forcément) de François, le populaire et fameux Édouard Philippe, se porte candidat et remporte l’élection. Macron se réfugie à Chanac-les-Mines, près de Tulle. Les deux anciens voisins et anciens présidents déchus, pleurent à chaudes larmes sur l'ingratitude humaine, tombent dans les bras l'un de l'autre, se pardonnent, se font des serments de fidélité et ensemble forment le cercle des Grands Disparus.
Une sorte d' association qui accueillerait tous les hommes politiques mis au rencart, les naufragés de la République. Au départ ils prévoiraient un gymnase d'accueil, mais à bien y réfléchir cela serait trop petit.
Peut être construire une cité HLM et une EPADH serait plus judicieux. La République ne reculant devant aucun sacrifice.
Honky