Lorsqu l'on se balade dans les rues on peut avoir  le sentiment de ne pas vivre dans une dictature.
Et pourtant on nous impose l’idéologie pure et dure du libéralisme mondialisé. Bien sûr, rien à voir avec la dictature stalinienne, chinoise (40 millions de morts), ou encore de Pol Pot.
A voir quand même, avec les éborgnages des gilets jaunes, on a le vague sentiment que ce sont des « crevages » d'œil en trop, que derrière ces actes il y a la volonté inquiétante de faire des exemples, et plus si non-affinités, qu'il y a la volonté d'imposer un ordre nouveau, un monde nouveau de moutons obéissants -- pucés, sanitairement piqués, vert-irisés, boboïtisés, genrisés, robotisés, algorithmisés, muetisés, intellectuellement Attali-sés ou Minc-itisés, macronisés.
Nous avons changé de siècle et nous avons affaire à un nouveau type de dictature.
Comment s'y prennent-ils pour installer un régime autoritaire ?
– Détruire la liberté. Pour cela assurer une surveillance perpétuelle : loi Avia, nouvelle loi sur les fake news (fausses nouvelles) qui se prépare en ce moment, donc interdire la pensée personnelle.
– Uniformiser l’opinion, dénoncer le crime de la pensée divergente. Les médias gouvernementaux s'en chargent très bien.
– Se réjouir bientôt des fêtes obligatoires, la journée de la femme-genrée par exemple, de l'homme-genré, la fête du Vert, la fête de "Balance ton gaulois", la fête du tourisme (obligation d'aller « s'accumuler » et se bronzer les fesses sur les plages, ou de voguer ailleurs »
– Appauvrir la langue, il faut : pratiquer une langue nouvelle : le Francmeuf, le Francenglish de Macron, le Francbobo, utiliser le double langage le Francattali, le Francinter ; détruire des mots : indépendance, jaune, diesel, chaudière à mazout, réflexion, etc", oraliser l'écriture : « Cé fassile de kozé une nouvèl lang, nessepa ? » ; supprimer les classiques, alors là ! Ça va dézinguer de partout, citons au hasard : Le grand Meaulnes (trop vieille France), Camus, Flaubert qui dans l'éducation sentimentale emploie sept ou huit fois le mot « nègre », et s'attaque avec férocité à la bourgeoisie de son époque, parle des courants révolutionnaires de 1848, des féroces répressions...
– Abolir la vérité, il faut : enseigner l’idéologie,  instrumentaliser la presse,  propager de fausses nouvelles : "les Russes sont responsables",  produire le faux-réel : « le masque ne sert à rien, le covid est une simple grippette, on va créer des lits d'hôpitaux, l'économie repart, l'inflation est maîtrisée, etc. »
– Supprimer l’histoire, il faut : effacer le passé, le réécrire : Napoléon est un raciste et macho en plus !, réinventer la mémoire : la colonisation selon Macron , la géographie selon Macron, où le fleuve Congo arrive à Paris. (N'a-t-il pas dit : « la France,c'est l'universel plus la langue. Et son épicentre est à chercher sur le bassin du fleuve Congo plutôt que sur les rives de la Seine » )
Nier la nature, il faut : détruire la pulsion de vie,  hygiéniser à outrance : pass sanitaire, procréer médicalement.
– Propager la haine, il faut : se créer un ennemi ; fomenter des guerres « nous sommes en guerre ! » : ce salaud de virus, intelligent même.
– Psychiatriser la pensée critique : un chercheur enfermé.
– Aspirer à l’Empire, d'abord à la présidence européenne. Donc, il faut : formater les enfants à l'école, administrer « l’opposition », gouverner avec les « élites », asservir grâce au progrès : installation définitive du passe sanitaire dont on va amplifier les prouesses comme la surveillance généralisée, l'enregistrement de votre ADN, votre corps sera lui-même un jour, avec la puce, un GPS ambulant, etc.

Honky (montives.canalblog)