L'AMÉRIQUE DE BIDEN : cauchemar Orwellien ?
Objectif à long terme de l'équipe de Biden : l’instauration (via un système de crédit social similaire à ce qui a été mis en place en Chine) d’un totalitarisme d’abord mou, mais qui se durcit progressivement. Le système de crédit social constitue une nouvelle façon de contrôler à la fois le comportement des individus et des entreprises (bonne notation si vous suivez les indications données par le gouvernement et les grands groupes « privés »)
Au nom d’abord de la lutte contre un virus, puis de la lutte contre le racisme et la « suprématie blanche », 2020 a permis aux États-Unis une attaque sans précédent contre les libertés individuelles. Libertés de se déplacer, d’entreprendre, de se rassembler, et de s’exprimer.
Certaines de ces libertés reviendront avec la disparition du virus, mais pour la liberté d’expression, l’attaque ne fait que commencer. Les événements de 6 janvier 2021 ont permis une accélération spectaculaire. Suppression des comptes Twitter et Facebook de Donald Trump (88 millions d'adhérents) et de milliers de ses partisans. Interdiction de remettre en cause la légitimité des élections. Cerise sur le gâteau, on censure ceux qui dénonce la censure.
Il y a longtemps que les conservateurs sont chassés des universités et de Hollywood. Désormais, toutes les professions sont sur la sellette. L'association des agents immobiliers a annoncé qu’ils expulseraient tous les membres qui seraient reconnus coupables de « discours de haine », que ce soit en public ou en privé.
Abolition de la distinction entre espace privé et espace public : c’est précisément la marque du totalitarisme. Ce qui vient d’être instauré pour les agents immobiliers va être étendu à tous les corps de métier. Pour pouvoir gagner sa vie, obtenir un emploi, il va devenir impératif d’afficher, même en privé, des opinions parfaitement lisses.
Afin de fournir un espace de liberté pour ceux qui ne supportaient plus la censure de Facebook, un réseau social libre, « parler.com », avait été créé. Peine perdue : Google et Apple ont désormais bloqué l’accès à l’application sur leur plateforme de téléphone mobile. Google-Apple nouveaux gendarmes téléguidés par le pouvoir (ça ne rappelle rien aux Français?)
Alexandria Occasio-Cortez, congresswoman, pasonaria de la gauche radicale démocrate-Biden et icône médiatique, exige la création de « listes » des supporters de Trump ! Un Directeur d’ABC (grande chaîne par câble) exige qu’on les « purge ». Rien que ça... Des millions d'Américains en passe d'être fichés (pour la France voir : NOTE en bas de page)
Partout désormais, on traque les « déviants », on leur coupe les moyens de vivre et de s’exprimer, on les chasse des lieux publics, et la présidence démocrate n’a même pas encore commencé.
Les démocrates vont contrôler désormais tous les pouvoirs : politique, finance, media, Big Tech. Ils ne cachent plus leur intention : écraser cette moitié du pays qui lui résiste.
Les opposants de Trump aimaient se qualifier de résistance. Celle-ci est finie maintenant, le moment de l’épuration est venu. Les États-Unis étaient un phare de la liberté d’expression. Le phare s’éteint, une longue nuit commence.
La moitié du pays qui refuse de souscrire au nouvel agenda et conglomérat progressiste néolibéral
(Biden-Obama-HillaryClinton-milliardaires-financiers-Google-Apple- mondialistes) n’a plus rien pour se défendre, même plus le rempart foutraque qu’était Donald Trump. Rien, sauf… des armes, beaucoup d’armes, achetées notamment lors des émeutes de l’été. Un pouvoir sans pitié contre une population armée jusqu’aux dents : tout cela ne peut que bien se terminer, n’est-ce pas ?
Et quand on sait que ce qui se passe aux USA finit par arriver en Europe et en France...
Quoique à bien y réfléchir, non, les Français sont devenus dans leur grande majorité un peuple plus que pacifique.
Honky
NOTE :
DÉCRET du 4 janvier 2021 : passé sous les radars et même pas débattu à l'Assemblée Nationale. La police et la gendarmerie pourront ficher les activités politiques, les appartenances syndicales et les données de santé au nom de la sécurité publique ou de la sûreté de l’État, a jugé en référé, lundi 4 janvier, le Conseil d’État, en rejetant les requêtes des organisations syndicales CGT, FO, FSU et des associations de défense des droits de l’homme qui dénonçaient la grande « dangerosité » de ces fichiers.
Les décrets, publiés le 4 décembre 2020 après avis du Conseil d’État et consultation de la Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL), autorisent les forces de l’ordre à ficher les « opinions politiques », les « convictions philosophiques et religieuses » et « l’appartenance syndicale » avant le recrutement de fonctionnaires sur des postes sensibles, alors que les précédents textes se limitaient à recenser leurs « activités ». Identifiants, photos et commentaires sur les réseaux sociaux y seront aussi inscrits, comme les troubles psychiatriques. Les personnes morales – les associations, et donc les syndicats – sont également visées.
Source : Journal Le Monde du 5 janvier 2021