Ce que coûtent les "ex" à l'état français
Petit résumé des révélations de Médiapart sur ce que coûtent les "ex" à l'Etat... Ex-présidents, ex-premiers ministres...
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es trois anciens présidents coûtent environ 6,2 millions d'euros chaque année à l'Etat.
Mais il n’y a pas que les présidents qui nous coûtent…
Matignon a dépensé 89 000 euros en 2014 pour renouveler les berlines de Fillon, Balladur et Rocard ?
Une collaboratrice d’Édith Cresson est toujours rémunérée à hauteur de 35 000 euros par an.
Le chauffeur de de Villepin nous à coûté 40 000 euros en 2014.
Regardons les ex-présidents d’un peu plus près.
L’État fournit vingt-six lignes de téléphone portable à Nicolas Sarkozy et son cabinet.
Giscard fait régler son carburant auto pour 5 000 euros.
Grâce au député Dosière (PS), on sait déjà que Giscard coûte environ 2,5 millions d’euros par an à l’État, Sarkozy 2,2 millions, Chirac 1,5 million.
Donc, en plus de leur « retraite » 6000€ mensuels plus 12000 du Conseil Constitutionnel pour Giscard, L’état les entretient comme des courtisanes en réglant :..
La location des bureaux (276 683 euros pour VGE, 226 290 pour Sarkozy en 2014). Même l’achat de journaux pour Giscard (10 571 euros) rien pour Sarkozy… Ne lirait-il pas ?
Les anciens premiers ministres ne sont pas en reste bien que plus modestes qui nous ont coûté plus de 2,9 millions d’euros entre 2011 et 2014. Sans omettre les frais de sécurité 860 000 en 2014.
Tous les ex-premiers ministres ont droit à une voiture (avec essence), un chauffeur et un assistant
Matignon a encore déboursé 102 000 euros en 2014 pour rémunérer le personnel affecté à Juppé, 97 000 pour de Villepin, 89 000 euros pour Jean-Pierre, 82 000 euros pour, 79 000 euros pour, 75 000 euros pour Ayrault, 66 000 euros pour Fillon, 45 000 euros pour Balladur 33 000 euros pour Cresson (retraitée). Que peuvent donc bien faire de si important tous ces collaborateurs ?
Ne perdez pas de vue que tous ces personnages sont en activité, certains comme de Villepin à la tête de sociétés privées, et beaucoup sont de grands pourfendeurs du gaspillage des aides aux plus démunis.