Aujourd'hui sur Terre 25/02/2016
25/02/2016
rançois Hollande a apporté mercredi un soutien appuyé aux réformes économiques libérales engagées par le nouveau chef de l’Etat argentin, Mauricio Macri, poursuivant à Buenos Aires une mini-tournée en Amérique latine. «Vous avez voulu mettre l’Argentine dans une situation nouvelle, plus ouverte plus crédible, la France est prête à vous accompagner»... La grève nationale en Argentine semble montrer que les argentins ne sont pas du même avis.
Et puis, si c'est le rêve de Hollande, la dernière année de son parcours catastrophique risque être difficile.
A propos de la tribune assassine d'Aubry sur la loi Travail, Le Guen ne trouve rien de mieux que de déclarer «Au-delà d’une posture morale, que propose Martine Aubry ?"
Et moi qui pensais que justement, ce qui devait distinguer la gauche et son action, c'était prioritairement la morale... Bel aveu!
Dans le comportement de Manuel Valls, "il y a quelque chose de Bonapartiste" dit Axel Kahn...
Et on sait ce qu'il est advenu de ce Bonaparte...
Pour moi la gauche c'était humanisme, social, démocratie...
Ce gouvernement aura bafoué tout ça... Ne me dites donc pas qu'ils sont de gauche!
Sympa le capitalisme: Quand tu vois que ton action va dégringoler (AREVA) tu suspends les cotations...
Que voulez-vous, on aime jouer mais pas perdre...
Hausse inhabituelle et importante des radiations à Pôle emploi...
Encore Fukushima?
Quand la représentation nationale associe dans une même loi fraude et terrorisme:
Enregistré à la Présidence de l’Assemblée nationale le 7 octobre 2015.
PROPOSITION DE LOI
relative à la prévention et à la lutte contre les atteintes graves à la sécurité publique, contre le terrorisme et contre la fraude dans les transports publics de voyageurs,
Pour Cazeneuve, la fermeture de la frontière franco-belge est une "décision étrange"
Pas plus étrange que l'attitude de la France avec la jungle de Calais et l'ami britannique!
Il disait en 2006:
"Ce que je veux, c'est que nous engagions, les uns et les autres, un vrai débat politique sur nos conceptions de l'avenir du modèle social français, qui nous opposent légitimement. Vous avez fait le pari d'une société de précarité, au nom de ce que vous croyez être l'efficacité, comme si l'incertitude et l'instabilité pouvaient être le gage d'une prospérité, même éphémère. Nous, la gauche, faisons le choix inverse : ce sont les sécurités professionnelles et sociales qui permettent les transitions et garantissent une croissance durable."
Il parlait d'une croissance qui "expire" à 1,4 %, une dette d'un "niveau historique" (68 % à l'époque)... Il rajoutait "Vous proclamiez votre volonté de redresser le pouvoir d'achat : il s'est effondré sous le poids de l'aggravation de la pression fiscale et sociale que vous avez infligée aux Français"
Et pour terminer en apothéose: "Mais plutôt que d'assumer la responsabilité de vos décisions depuis quatre ans, monsieur le Premier ministre, vous préférez mettre en accusation notre modèle social : ce ne serait pas votre politique, par ses errements, qui serait en échec, mais la France, par ses acquis sociaux, qui serait en panne. Tel est le tour de passe-passe qui vous disculpe : rien ne serait de votre faute, tout viendrait des Français eux-mêmes… trop protégés par trop de garanties, immobiles, enfermés qu'ils seraient derrière des verrous qu'il faudrait faire sauter à tout prix ! Et le premier d'entre eux s'appelle tout simplement le code du travail."
Voila ce que disait Hollande quand il était chef de l'opposition! Et après ça, on nous défend de parle de trahison?
Urvoas : "L’état de la Justice est pire encore que ce que je croyais. Partout où je vais, il y a des besoins…"
Imaginez cher ministre ce qui pourrait être fait avec les 40 milliards offerts au medef en pure perte...
Accuser les employés de pôle emploi d'inefficacité quand ils n'ont que 500 000 emplois pour 5 millions de chômeurs, c'est un peu facile... Et malhonnête.
N'oubliez pas que tous ces gens qui doctement expliquent au monde ouvrier ce qui est bon pour lui n'ont jamais travaillé... Ça doit nous inciter à relativiser.